dimanche 16 octobre 2005

Printemps de septembre 2005

A l'Espace Ecureuil

J'aime les oeuvres dans lesquelles on se promène. Celle de Stéphane Calais a un aspect assez brouillon, mais elle fait corps avec le lieu, et j'aime son côté graphique.




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Printemps de septembre 2005

A l'Espace Croix-Baragnon

Je ne comprends pas forcément grand chose à l'installation graphique de Virginie Loze... L'assemblage du dessin et de l'animation vidéo est toutefois assez ludique.




Dans les frises d'Anne-Marie Schneider, il y a toute notre enfance en couleur : Babar, Pinocchio, Blanche-Neige, d'autres personnages que je ne reconnais pas, et même le chat porte-bonheur qu'on voit sur les étagères des restaurants japonais...




... et dans ses croquis au crayon noir, il y a toute notre sexualité d'adulte, drôlement croquée, avec d'éloquents raccourcis du trait... Obsessionnel et fascinant.



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Allée de Brienne, Allée de Barcelone





Maison Eclusière

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Pont St Pierre


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Rue Croix-Baragnon

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Rue de Metz

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Rue Valade

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St Pierre des Cuisines

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Place du Capitole


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lundi 10 octobre 2005

Printemps de septembre 2005

A l'Espace Bazacle

Diana Thater a créé une animation vidéo spécifiquement pour le Printemps de Septembre et l'Espace Bazacle. Les images mettent en scène des papillons monarques. On ne les voit pas forcément bien sur mes photos. Mais la lumière est agréable, belle. L'effet est à la fois esthétique et paisible. On a envie de rester là, posé dans un coin de la salle, et de se laisser flotter..


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Printemps de septembre 2005

Au Château d'Eau

Cindy Sherman ne veut pas qu'on photographie ses photos... Des clowns, rien qe des clowns, elle-même souvent, grimée et vêtue de couleurs vibrantes, flashantes. Le travail photographique est intéressant. Mais je n'aime pas les clowns.

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Printemps de septembre 2005

A l'Ecole des Beaux-Arts

Pour le Printemps de Septembre, Gerhard Merz a refait les peintures de l'espace d'exposition de l'Ecole des Beaux Arts. L'huile sent fort, même après trois semaines d'exposition, et c'en est presque incommodant. Comme ces néons qui vibrent, et vous accueillent dès l'entrée... Les murs sont blancs, entièrement blancs... J'en vois déjà qui rigolent. Il n'est cependant pas donné à tout le monde de produire ces effets de relief, comme une griffure ou un froissement d'étoffe, dans l'huile blanche... Mais ça fait tellement mal aux yeux qu'on ne peut pas rester longtemps. A moins que ce ne soit à cause de l'odeur... Dommage..




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Printemps de septembre 2005

Aux Jacobins

J'avoue que les installations de Ger Van Elk me laissent de marbre... Qu'il s'agisse de "Green Blood" ou du "Traité de Rome", qui en laisse d'ailleurs plus d'un perplexe, si on en juge par la tête des gens que j'ai capturés sur mes photos de l'oeuvre, c'est amusant...




"Sex", des frères Chapman, est carrément répugnant... d'ailleurs, je m'aperçois que j'ai coupé le corbeau qui trône sur la plus haute branche de cet arbre des supplices...





Les petites gravures des deux frères, intitulées "Les désastres de la guerre" sont retravaillées à partir d'oeuvres de Goya. Pas plus ragoûtantes, et les spectateurs grimacent. Mais c'est cohérent avec le thème... Le traitement graphique, genre aquarelle, et les couleurs, me plaisent en revanche beaucoup. Est-ce cette attirance-répulsion qu'ont voulu susciter les artistes ? Si oui, c'est réussi. Dommage que les sous-verre génèrent tant de reflets... et avec les défaut de parallaxe de mon objectif, on dirait des petits écrans de télévision, dans lesquels se reflètent les vitraux de la salle des Jacobins. Voilà que je me mets à retravailler les oeuvres d'art à ma manière !







Les toiles de Sigmar Polke me font penser à Roy Lichtenstein, en beaucoup plus trash évidemment... Il y a néanmoins dans ces deux là une sorte de poésie qui ne me laisse pas insensible. Et j'aime l'apport d'une seule touche de couleur dans le noir et blanc...




J'aime assez franchement les toiles de Daniel Schlier. La technique très spécifique "fixé sous verre" dit la notice, donne aux huiles l'aspect de photos surréalistes. Les couleurs sont vives, tranchées, et les sujets totalement bizarres. Je ne sais pas pourquoi ça me parle...



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Rue Peyrolières

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Ensemble conventuel des Jacobins





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Le long du fleuve...


Quai Lucien Lombard




Place de la Daurade - Café des Artistes

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